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Posted on juillet 9th, 2009 by ukeda.
Categories: livre, dessin.
oui j’aime Davy Mourier, et oui, je lui fais de la pub
commande sa bédé ici
je ne l’ai pas encore acheté mais je l’ai lu sur son blog, et franchement, c’est plutôt très bon (graphiquement, scénaristiquement, et tout le reste)
Posted on juin 7th, 2009 by ukeda.
Categories: livre.
J’avoue avoir lu pas mal de livres récemment.
Tout d’abord « Sous le volcan » de Malcom Lowry, qui narre l’histoire du consul anglais Geoffrey Firmin qui, depuis que sa femme Yvonne est partie, s’est mis à boire. Tout se passe au Mexique, le jour de la fête des morts, Yvonne revient, Geoffrey essaie de moins boire. Mais hélas, comme une tragédie grecque, ils sont destinés à être frappés par la fatalité, la mort. Évidemment, l’écriture de Lowry est structuré comme l’est le consul : complètement saoul. C’est même cela qui donne cette fraicheur, cette légèreté à l’histoire.
Ensuite « L’homme invisible » d’HG Wells. Tout le monde connait l’homme invisible. Mais qui a lu la nouvelle (car oui, le format du livre se rapproche plutôt de la nouvelle que du roman) où cet énigmatique scientifique tout enroulé de pansements comme un rouleau de papier-cul échoue dans ce petit bled paumé d’Iping, où cette chasse à l’homme digne de celle du comte Zaroff tient en haleine le lecteur avide de savoir la fin. Du classique fantastique mais qui reste toujours bon à lire.
Ensuite vient « Sur la route » de Kerouac. Et j’avoue avoir eu un sacré faible pour ce bouquin. Chantre suprême de la vie de bohême, du mouvement Beatnik, de la liberté, tout simplement. Sal Paradise, héros du livre, fait la connaissance de Dean Moriarty (non pas le méchant de Sherlock Holmes). De leur amitié va naitre un voyage, une initiation au rêve, à l’envie, à la liberté. Ce livre est un hymne à la liberté, c’est pour cela que je l’ai lu durant mes derniers cours à la fac. Même s’il possède quelques longueurs durant les descriptions de paysage, je dirais que c’est logique : la route, c’est toujours long, on a le temps de décrire, d’imaginer, c’est même plus poser un décor, le décor est acteur dans le livre. Sans lui, pas de voyage, pas de route, pas de beatnik.
Enfin, « L’épopée du buveur d’eau » de John Irving ou les déboires de Fred « Bogus » Trumper. Je n’ai jamais autant ri en ayant lu un livre qu’avec celui-ci. Trumper est un antihéros, l’archétype du raté. Pourtant marié à une ex championne de ski, il n’a jamais su tirer le meilleur de lui-même. D’ailleurs il est encore étudiant (en doctorat), collectionne les petits boulots. Ce sont ses déboires phalliques qui sont le fil conducteur de l’histoire. Car notre homme a un petit problème à sa zigounette : il pisse des lames de rasoirs à cause d’un méat plutôt bouché (au propre comme au figuré). Je ne sais pas si quelqu’un possède les droits pour le faire en film, mais je suis preneur, car l’histoire est la plus drôle qu’Irving ait écrit. Mention spécial pour les passages avec Merrill Overtuff en Autriche lors de flashbacks, qui sont d’une hilarité superbe, d’un humour viril et couillu comme je les aime.
Je vous les conseille avec mon approbation. Bonne lecture !
Posted on décembre 2nd, 2007 by ukeda.
Categories: livre.
La TAZ est une sorte de territoire éphémère qui, dès qu’elle est répertoriée, disparaît. Territoire libre, le temps de l’évenement, il est le fruit de l’appréciation de l’insurrection. Pour plus de détails, lire le livre d’Hakim Bey :